13 novembre 2021

à 20h30

Lieu : Salle des fêtes de Bain-de-Bretagne


Soirée concert le 13 novembre, à partir de 20h30

En première partie : Wild totem tatoo

Ce groupe de blues rock est formé d’Alex Wolf et Marten Arzh. Leur collaboration musicale a commencé en 2014 dans le groupe de rock français The Roadies, jusqu’en 2017.

Fin juillet 2019, ils décident de se retrouver sur un projet aux racines de leurs influences (de Led Zeppelin à Creedence Clearwater Revival, en passant par AC/DC…). L’idée fut de créer à deux un groupe de blues-rock complet : Alex et Marten se partagent ainsi la batterie aux pieds, et jouent de la guitare et chantent en duo.

Rapidement s’est imposé le choix de ne pas avoir de voix leader. Ils commencent donc à travailler des arrangements consistant à se partager et à harmoniser le chant.

Après 6 mois de travail, ils donnent leur premier concert. Malgré la crise du Covid, le groupe ne s’arrête pas pour autant !

En mai 2021, ils enregistrent le titre « The great escape » et diffusent une version acoustique du titre puis, 5 mois plus tard, un second « I’m a Rocka ».

Wild totem tattoo est la synthèse des influences de ses musiciens, c’est du rock, du blues et du folk !

 

The Hyènes

La biographie

On croise fréquemment sur la route du rock des personnages hors normes, des gens qui marchent à contresens ou qui suivent leur propre chemin et regardent le monde comme une comédie ridicule. Réunis par Albert Dupontel en 2006 pour comploter la bande originale de son film Enfermés dehors, Vincent Bosler (guitare), Denis Barthe (batterie), Jean-Paul Roy (guitare) et Olivier Mathios (basse) se prennent au jeu.
Ce qui ne devait être qu’une rencontre éphémère, s’est révélée être le début d’une aventure qui se joue encore aujourd’hui.
En 2009, sort un premier album au titre éponyme, The Hyènes, suivi d’une tournée, le Bordel tour. Suivra la bande originale d‘un court métrage, Despéradiou, et quelques collaborations musicales inattendues, sur scène ou en studio : Cali, Olivia Ruiz, Mathias Malzieu… 2012, deuxième opus. The Hyènes a grandi et n’a peur de rien. C’est à nouveau la route des concerts, le groupe s’éclate, le public aussi et ça se sent.
Leitmotiv de ce moment : la chanson « On dormira quand on sera morts ».
L’envie d’un troisième album est présente mais il faut parfois prendre de la distance pour mieux se retrouver. Quelques escapades pour les uns et les autres dans des univers différents et arrive le moment où réenfiler les gants de boxe semble évident.

// 2019 une fois n’est pas coutume, The Hyènes discute d’une suite

Luc Robène succède à Jean-Paul Roy et branche sa guitare dans le répertoire du groupe. Le nouvel album s’appelle Verdure, et parle de tout ce qui nous file entre les doigts, la vie, le temps, l’amour, dans une course vers un bonheur différent pour nous tous mais jamais si lointain, grâce à des riffs aussi redoutables qu’efficaces et des textes qui touchent au plus profond de nous.
Mille accords scintillants pour 12 chansons où la hargne embrasse à pleine bouche la rage de ne pas avoir enregistré depuis plusieurs années.
Il y a du magnifique, à commencer par le morceau titre « Verdure », chant de désespoir d’une planète que nous malmenons et qui se rebelle.

// Du percutant, du direct même

Bientôt, après cette fin du monde maintes fois annoncée mais heureusement toujours repoussée, The Hyènes part en tournée pour défendre ce nouveau disque et n’a aucune envie de baisser les bras, question d’honneur, de panache et de fierté.

Profitons de leur rage ultra vivifiante !

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