QUI SOMMES-NOUS ?

 

La Noë-Blanche est une commune rurale de 1 012 habitants (chiffres de l’INSEE de 2018) située géographiquement entre les métropoles de Rennes et Nantes, respectivement à 40 mn et 1h environ, par la RN137.

La Noë-Blanche se situe également à 7 mn environ de la gare de Guipry-Messac (pôle d’équilibre) qui permet de se rendre à Rennes en 30 mn environ ou Redon en 20 mn. La Noë-Blanche est également située à proximité des pôles du Grand-Fougeray et de Bain-de-Bretagne situées à 7-     10 kms. La commune s’étend sur 23,18 km² pour 44 habitants au km². 

 

En pleines terres bretonnes en Ille-et-Vilaine, la commune accueille sur son territoire une école privée : l’école Sainte-Anne ; pas moins de 17 associations proposant diverses activités : sportives, créatives, culturelles… ; et actuellement deux commerces : une boulangerie ainsi qu’un bar-tabac.

Garagiste, entreprises de travaux publics, agricoles, peintre, poseur de revêtements de sols, vente directe de viande, cidre-jus de pommes, auto-entrepreneurs forment le tissu économique de La Noë-Blanche.

 

 

 

 

 

UN PEU D’HISTOIRE…

 

 

 

 

 

 

 

Le territoire de La Noë-Blanche a jadis fait partie intégrante de la commune de Messac. La petite chapelle de La Noë-Blanche devient trêve de Messac en 1675 et est érigée en paroisse en 1847, et dès 1852 celle-ci devient indépendante par démembrement de la commune de Messac. 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Noë-Blanche tire son nom d’une fleur blanche qui surgissait au printemps dans les marécages. Le terme Noa signifie en gallo « marécage ». On rencontre les appellations suivantes : Nos Blanche (en 1675) puis La Noë Blanche (en 1756).

 

QUELQUES ANECDOTES…

 

Il existe près de Branfeul un site, une carrière de pierre (lieu où se déroulait le sprint-cross), où des fossiles de trilobites (arthropodes) ont été trouvés. Il s’agirait à première vue de trilobites Conocoryphe, ce qui reste à vérifier étant donné que pour l’instant aucun squelette complet n’a été trouvé. Ils dateraient alors du Cambrien ou du Permien, c’est-à-dire de 540 à 245 millions d’années avant notre ère. Ces crustacés vivaient dans les mers : il est donc tout à fait possible que la Noë-Blanche fut une mer, qui après des millions d’années se soit transformée, peu à peu, en marécages. Il est aussi tout à fait probable de découvrir d’autres fossiles marins. Branfeul est aussi un hameau qui abrite un étang, dont les vestiges d’un manoir subsistent.

 

 

 

 

Près du village de Sévrignac, à 800 m au sud-est de la Noë-Blanche et sur le bord de la D52, vers la Dominelais, au lieu-dit le Pâtis des Douves, on aperçoit un retranchement long de 170 m, entouré de talus et de fossés, et appelé autrefois Camp de César. Un camp de César peut désigner un camp militaire de l’époque de la conquête des Gaules par Jules César, ou un site archéologique ayant prétendument servi de camp aux armées de César. 

Le cœur du bourg est traversé par l’ancienne voie romaine reliant Rennes et Nantes, il n’en reste cependant pas de traces. Entre 1853 et 1881 des monnaies gauloises et une médaille en or à l’effigie de Néron ont été découvertes près de cette voie. Depuis la Noë-Blanche, la voie semblerait partir à l’ouest de la route actuelle D69.

 

 

ET SI VOUS TESTIEZ VOS CONNAISSANCES ?

Partager cette page sur :